Place du marché

C'est la que se tient tous les jours le marché d'Acaban

Hîrmegil arriva sur le marché. Il mit sa cagoule car il ne savait pas si les drows étaient bien vus dans cette ville. Il aborda un passant sur la rue principale.

"Excusez moi je viens d'arriver dans cette ville... Pourriez vous me dire s'il y a une école de mage dans cette ville ?"

Hîrmegil lanca un long soupir et retiré sa cagoule, dévoilant son chevelure blanche. Il chuchota à l'oreille du passant :

"Je ne suis ni un brigand, ni un voleur. Si je garde ma capuche, c'est parce que je suis un elfe noir..."

Hîrmegil regarda le passant, étonné. Il dit :

"Désolé de vous avoir fait peur... mais je ne connais pas cette ville et les drows sont souvent mals vus dans les villes..."

Sur ces paroles, Hîrmegil partit vers l'école des mages, toujours aussi étonné.

les 2 personnage accompagné d'un loup se tenait a milieu deu marché où s'y tenait une folle agitation.

Sirion se tournat vers une dame

Madame ? Excusez moi ... nous cherchons un endroit où nous pourrions nous reposer un peu et nous désaltérer

Oui bien sur, vous avez dans la taverne du sanglier dans le quartier défavorisé, et vous avez le grand luxe La radieuse dans le quartier riche si vous avez les moyens bien sur.
Et la femme repartie à ses affaires.

Sirion rapportat ce que venais de dire la dame a Fitz et ils se dirigeairent vers la taverne du sanglier

Sir Aloysius arriva au centre ville et chercha un marchant pour demander a manger gratuitement
(j ai sousentendu envi de me battre)

Aloysius arriva près d'un grand étal que tenait un homme énorme, tout en muscle. Quand l'aventurier lui demanda de manger gratuitement, le marchand éclata de rire et dit :

"Je vends mes fruits je ne les donne pas. Retourne d'où tu viens !"

Sir Aloysius répond:

ne fais pas le batard si tu veux pas avoir d'enmerde alors coopère

L'homme se révéla dans toute sa splendeur de marchand et fit saillir ses muscles :

"Ecoute, petit ! Ici personne veut d'emmerdes alors c'est toi qui va coopérer. Tire toi de là avant que j'appelle la garde."

Aloysius répondit:

ok ok ta juste peur de perdre fallait le dire je casse chez qqun d'autre tu sait juste pas qui je suis allez salut mauviette

Le marchand s'assit alors et dit :

"Ca y est tu as fini ton numéro ? Casse toi maintenant tu gênes mon commerce..."

Aloysius aprocha sa tete et dit :

regarde moi dans les yeux, si tu veux faire ton commerce tranquille donne moi un minimum a manger et je me casse sinon c'est que tu comprend vraiment rien

Le marchand s'approcha de lui. Il faisait une bonne tête de plus que lui et faisait le double en largeur. Il sortit une large épée de sous son étal et dit :

"Tu es sur de pas vouloir payer ta nourriture ?"

Autour d'eux commencèrent à se former un cercle composé de badeaux venus pour voir le "spectacle".

Aloysius se frotta les main histoire de se chauffer les pouvoirs quelques éteincelles jaillir de celles ci et par la suite il sorti ses deux sabres:

"tu comprends je ne veux pas tellement me battre mais seulement je n'ai pas d'argent et j'ai exigé un peu de gentillesse de ta part ce qui n'est pas encore venu je te comprends mais sache qu'il ne faut pas me chercher ni me toucher mais plutot me craindre sur ce si tu désir je vais voir ailleur..."

L'homme leva un sourcil et dit :

"Tu as du cran... Et ça me plait ! Tiens prends deux de ces magnifiques pommes et laisse moi avant que je change d'avis."

Aloysius le regarda bouche bée et dit :

"tu es brave et bon on ne s'est pas batu tu sais te retenir je prend volontier ton présent et je me souviendrai de toi mais je veux savoir ton nom moi c'est Sir Aloysius magicien de Perse et toi mon brave?"

Le marchand rit de bon coeur en rangeant son épée. Il dit :

"Ravi de te connaître petit. Moi je m'appelles William."

Aloysius dit:

"ravi moi aussi et merci"

il bouscula quelque personne pour sortir et s'en alla vers l'école des mages

Hîrmegil, Siberiane et Taliesin arrivèrent sur la place du marché. Le drow se retourna et leur dit :

Nous fairions mieux de nous séparer... On sera plus efficaces... Pour l'instant contentons nous d'observer. D'accord ?

Je vais interroger le forgeron !!
Au moindre probleme, je tire un coup de feu. Si je vois quelque chose, je ferais en sorte que ton oiseau, vienne te prevenir Hîrmegil. Alors si il pouvait tourner en rond et venir nous voir au cas où....

Taliesin se dirigeat alors vers la forge de la place.

Hîrmegil regarda Taliesin partir. Une fois que celui-ci eut disparu dans la foule, il sortit un petit instrument fixé autour de son cou par une ficelle et souffla dedans. L'aigle arriva au-dessus de lui. Il lui transmit mentalement ces paroles :

On cherche un voleur extrèmement habile. Survole la place au cas où il se montrerait et si tu vois quelque chose tu m'appelles.