Entrée de la ville

C'est les pieds presques sanglants qu'arrivait Eavitt à Acaban. Elle avait marché tellement longtemps, sans but précis, que ses chaussures avaient finies par être totalement hors d'usage. Elle avait donc du continuer sans...Mais emplie d'une force d'esprit incroyable, inculquée par son père notemment, elle avait appris à suporter la douleur de marcher pied nus...

Elle avait bien les bottes métalliques que lui avait offert son père, mais pour l'instant elle ne tenait pas a les porter...

(Ni gardes, ni murailles...La vanité des hommes est-elle aussi grande que mon père a bien voulu me faire croire ? Une attaque est si vite arrivée...)

Eavitt s'assit quelques instants loin de l'entrée de la ville...Elle avait besoin de se reposer avant d'entreprendre l'exploration de cette cité...
Elle fouilla dans son sac pour en retirer la "tente" qu'elle avait emportée avec elle. Une grande bache, rien de plus, mais elle avait le mérite de la protéger de la pluie...

Drasil avancait prudement. La nuit était déjà tombée, des brigands et des bêtes sauvages pouvaient errer dans le coin. En plus, il ne voyait pas la où il marchait.
Au sommet d'une colline, il vit dans le creux une tente, assez sommaire, mais elle protegeait de la pluie. Un feu brulait a cote de l'entree. Il avait bien besoin de se rechauffer car la nuit etait fraiche. Et traitresse. En s'approchant, il se prit le pied dans une racine et tomba et roula jusqu'a percuter la tente, qui s'ecroula sur son occupant.
Drasil soupira.
Ouf. J'ai au moins évité de tomber dans le feu.

Cela faisait quelques minutes qu'Eavitt avait fermé les yeux...Elle s'était laissée aller dans le royaume des songes lorsque sa Tente lui tomba dessus.
Elle poussa un cri et essaya de retirer le bout de bache qui lui obscurcissait la vue.
Lorsqu'elle y parvint, elle vit une forme allongée par terre.

(La nuit, la prudence est de mise... un voleur, un assassin ? peut-être les deux...)

Malheuresement, elle n'avait pas été vraiment discrete et le temps qu'elle se releve, elle avait senti que la personne la fixait...

"Que...qui êtes vous ?"

Drasil, encore sonné, ne put meme comprendre la question. Il essaya de se relever. La premiere tentative echoua. La seconde aussi.
Il decida de s'appuyer sur quelque chose.
Il tendis la main, attrapa ce qu'il pouvait et tira pour se relever.
Mais la prise, douse, tiede, arrondie, n'etait pas stable et la jeune femme lui tomba dessus.
Je vais dormir ici, le temps que je reprenne mes esprit. J'essaye de me relever mais une force me retiens un sol.

Eavitt ne comprit pas tout de suite ce qu'il se passait. L'homme sembla s'accrocher à elle et l'entraina au sol...

(Un violeur ?)

Avant même de laisser une chance à l'homme de se reveler ou de bouger, se trouvant dans une position dominante par rapport à lui, elle lui assena un coup de poing magistral en pleine figure...de quoi l'assomer...

(Heuresement que je dors avec mes gants...)

Le coup qu'il se prit en pleine figure le reveilla ainsi que ses instincts.
Il repoussa la fille qui vola sur quelques metres. Lui se remis sur ses pieds et courru vers elle, le poing droit en arriere pour lui donner un coup magistral tandis qu'elle se releverait, qu'elle serait encore sans defense.

Après l'avoir frappé, Eavitt se senti propulsée vers l'arrière...L'homme qu'elle croyait endormi, preque sans défense l'avait prise par surprise...
Elle était allongée sur le coté, mais utilisa son "Oeil parfait" pour essayer de prévoir l'attaque de son adversaire qui se ruait vers elle en courant.

Elle se releva et eut le temps d'apercevoir le poing qui se dirigeait vers elle...Eavitt essaya de le dévier, mais sans grande réussite...le poing percuta donc son épaule avec un craquement sonore. Son visage avait été épargné...

Elle poussa un cri et s'effondra de tout son long par terre.

Drasil se jetta sur elle. Il sentait l'affront laver et se disait qu'elle ne pourrait se battre avec l'epaule dans cet etat.
Ils etaient au sol, il la maintenait dans cette position. A la fois pour l'empecher de le taper, et pour l'empecher d'empirer sa blessure.
Je ne te veux pas de mal.
Il vit une goute de sang s'ecraser sur le visage de la jeune fille.
Flute. Elle m'a bien amoché, elle aussi.

Eavitt était allongée par terre, immobilisée par l'homme mystérieux ( ; ) ). Elle detestait ce sentiment d'impuissance mais ne pouvait faire autrement.

Je ne te veux pas de mal.

"Merci de le préciser maintenant...Enfin, vous pouvez peut-être me laisser me relever maintenant ?"

(Je reste sur mes gardes, on ne sait jamais...je ne le connais pas...)

Drasil lui jeta un dernier regard avant de se laisser rouler sur le cote. Il avait décidé de lui faire confiance.
Il resta allongé sur le dos, les bras en croix, le regard perdu dasn le ciel nocturne.
Désolé pour la tente. Je ne l'ai pas fait expres. J'espere n'avoir rien cassé.
Il porta sa main au visage. Maintenant que l'effet de l'adrenaline disparaissait, il sentait une douleur sourde en lui. Il se toucha le nez.
Elle m'a bien amoché, mais je n'ai pas l'air d'avoir quoi que ce soit de cassé.
Il essuya sa main pleine de sang sur l'herbe. Il prit dans ses affaires de l'eau et un chiffon et entreprit de nettoyer la blessure.
Tu veux que je regarde si tu es grievement blessée ?

Eavitt se releva tant bien que mal, en grimaçant. Son épaule la lançait et elle avait peur que son os soit fracturé.

"Tu veux que je regarde si tu es grievement blessée ?"

Elle lui lança un regard peu amical.

"Ca ira je peux me débrouiller toute seule..."

Elle regarda l'homme fixement puis se dirigea vers ce qu'il lui restait de tente. Sa blessure ne semblait pas saigner. Elle enleva néanmoins son haut pour essayer d'apercevoir l'étendue des dégats, mais l'obscurité l'empechait de voir quoique ce soit.
Elle vit quand même que son épaule faisait un angle anormal par rapport à son buste...
(Et merde...j'avais vraiment besoin de ça ?)

Eavitt remit son haut et s'approcha du feu.

"Je crois que tu m'as déboité l'épaule..."

Tu veux que je t'aide a la remettre ?
Il essaya a nouveau de se relever sans succes.
Je suis completement crevé moi. Mais ca ne peut pas attendre demain.
Tu m'aides s'il te plait ?
Drasil tend la main vers elle.

Tu m'aides s'il te plait ?

Eavitt regarda la main tendue vers elle et la fixa quelques secondes...
Est-ce que je dois lui faire confiance ou pas?
Puis elle se décida et lui tendit la main, du coté de son épaule encore en bon "fonctionnement"....

Je ne vais pas avoir le courage de la remettre en place seule...alors j'accepte votre aide...

Drasil se releva.
T'inquiete, je m'occupe de ca, essaye quand a toi de ne pas bouger. La douleur n'en serait que plus forte.
Il l'aida a s'allonger sur le sol. Il s'agenouilla a coté d'elle. Mit un bras sur l'epaule, tenait le bras de l'autre.
J'y vais à trois...
TROIS !
*Toc*
L'epaule fut remise en place. Pas un cris n'etait sortit des levres de la jeune fille. Mais la douleur l'avait fait s'evanouir.

Elle se reveilla le lendemain. Elle sentit alors l'odeur de la nourriture.
Drasil avait veillé sur elle et preparait un solide repas. Quand elle voulut se relever, elle vit un bandage autour de son epaule.
Tu evitera de trop le bouger pour le moment, dis Drasil qui pourtant lui tournait le dos.
Il se retourna et lui presenta un bol en lui souriant.
Mange, ca te redonnera des forces.

L'odeur de ce qu'avait préparé l'homme avait ouvert l'appetit d'Eavitt...d'ailleurs, peut-être était-ce cela qui l'avait fait se réveiller...
Elle lui rendit son sourire et accepta le bol qu'il lui tendait.

Etrange rencontre tout de même...

Elle remarqua que l'homme avait la lèvre fendue. Interieurement, elle se félicita de ne pas avoir raté son coup.
Elle se redressa, malgré ses indications...

Je ne te remercie pas d'avoir remis mon épaule en place, étant donné que c'est toi qui l'avait mis dans cet état...néanmoins, merci pour le reste...

Elle écarta une meche de cheveux de son visage et leva fièrement le menton avant de reprendre :

Je suis Eavitt...Vais-je avoir l'honneur de connaitre ton prénom ?

Mon prénom ?
Il venait de se rendre compte qu'il n'avait jamais été baptisé. La vieille dame l'appelait "mon enfant" puis "le monstre" avec les autres villageois. Et il n'avait connu personne d'autre depuis.
Il reflechit.
Je m'appelle... Drasil.
Peut-etre etait-il destiné a porter ce nom...

Tu te sens mieux ? Prete a continuer ta route ? Je vais t'accompagner un peu, si tu le veux bien. Je m'en veux de t'avoir blessée. Et les routes sont peu sures. Surtout lorsqu'on ne peut se defendre...

Tu te sens mieux ? Prete a continuer ta route ? Je vais t'accompagner un peu, si tu le veux bien. Je m'en veux de t'avoir blessée. Et les routes sont peu sures. Surtout lorsqu'on ne peut se defendre...

Evidemment, ce n'est pas très prudent de voyager seule, mais en même temps...la ville n'est plus très loin...
Optons pour la sécurité...

C'est d'accord, j'accepte ta proposition. Mais ne te méprend pas, j'ai encore un bras dont je peux me servir...

Eavitt fit en quelques pas le tour du campement pour amasser ses affaires et les remettre dans son sac.
Une fois le camp levé elle se tourna vers l'homme.

Alors Drasil ? On y va ?

Quand tu veux.

Attend, donne moi ton sac.
Il pris le sac d'Eavitt et tous deux partir en direction d'Acaban.

Eavitt se sentie soulagée que Drasil lui prenne son sac, car malgré les apparences et malgré sa vanité, son épaule la faisait souffrir en silence...

Essayons de trouver une Herboristerie, j'ai quelques plantes a acheter tout d'abord...Il doit bien y avoir ça à Acaban...

Pour me soigner, mais ça, plutot crever que d'avouer avoir besoin de soins

Ils passèrent donc la porte d'Acaban et cherchèrent une Herboristerie

aaaaaahhhhh !!!! enfin une ville !!!!

en effet, cela faisait plusieurs jours que Caim marchait, et il appercut enfin une ville, se qui fit monter en lui sa joie habituelle qu'il remplacait par de la mauvaise humeur quand il etait perdu.

Acaban se dressait devant lui,mais ....

quoi quoi quoi??? pas de garde? eh bin, les humains sont pleins d'espoirs, mon père avait raison ....

il s'avancat donc paisiblement en chantonnant d'un air enjoué

aaahhhh j'ai faaaaiiimmm !!! je me demande si on mange comme au village ici ....

a ce moment la, il etait a peine a cent mètres de "l'entrée" qu'il vit une jeune femme avec une bras en bandoullière et un homme a l'aspect etrange entrer....

eh bin, je sens que je vais trouver de tout ici, j'ai hate de me battre !!!

il entra donc dans la ville a la recherche d'un restaurant et d'un colysée

[HRP]Note, mon personnage a marcher pendant 4 jour sans s'arreter, ni boire, ni manger, ni dormir.[/HRP]

Apres avoir traversser une épaisse masse de bouillard, Alexandre arriva devant une drolle de cité.

*Qu'est ce qui m'arrive, je n'est pas fait beaucoup de route et je ne vais pas bien, les corp des humain sont si fragil. Je me sent vraiment pas bien.......*

Les yeux vide il savança jusqu'à la tour de garde en titubant.

*Méme pas de persone sur qui passer ma mauvaise humeur, sa promer. Je hais les humains, et encore plus les villes humaines*

Kanna s'approchait de la ville ou devait se dérouler le tournoi

pourvu qu'il ne soit pas trop tard !!!

il courut donc jusqu'à "l'entrée", et courut vers la tour de gardede toutes ses forces

Khast passa rapidemment par la grande rue, et se dirigea vers la tour de garde.

Prologue:

Si vous saviez comment j'ai dû attendre avant de pouvoir enfin entrer dans [color:0650=red:0650]Acaban.........maîtriser ma soif de mort et de sang, dans la profanité, tout en essayant de satisfaire mon orgeuil.....J'ai dû martyrisé des gens isolé pendant des jours avant de les tuer, de sentir la peur dans leurs âme, afin de rassasié cette envie pour quelques jours, du moins. Je vous explique cela en sachant que vous me croiserai peu-être lors de mon séjour, ce que je ne vous souhaite en aucun cas. En espèrant peu-être que vous vous en sortirez indemne, sinon, je m'aurai amuser.Mais revenons au fais.Mon entrer en [clor=red]Accaban....



Hum.....tellement pathétique....Seulement quelques gardes à l'entrer......de quoi m'amuser pendant quelques minutes seulement.Non. Je dois me contrôler.Si Héross est ici, je le trouvai et lui demanderai réponse à mes questions.En cas contraire, je plaint la personne qui me croisera en colère.Mais néanmoins, quoi que je fasse, je dois me contrôler un peu.

Wendarielle avançait d'un pas lourd vers la porte, ses sens en ébullition, son orgueil lui demandant un combat sanglant, ce qu'elle devait éviter, jusqu'à sa sortie du village.

Bonjour à vous, noble militaire. Je n'ai pas manger depuis fort longtemps et je n'ai pas fais d'halte depuis un long moment du même coup. Je demandais si je pouvais seulement entrer en cette cité pour me reposer quelques temps. *fais un clin d'oeil au garde et lui chuchote*Si vous pouviez me montrer les beaux aspects d'Acaban, je vous en serez reconnaissante......